Il n'a fallu que quelques lettres d'or à l'homme pour lui donner la vie.Son dos est courbé depuis toujours et sa coiffe fragile.Il est comme protégé par deux planches d'arbousier. Les tissus qui le composent sont reliés les uns aux autres par des fils d'argent.Mais un jour ou l'autre, le livre touchera à sa fin après avoir raconté toute son histoire.
Josély Ortet (3°4)