Faut-il que cela tourne rond ?
« Si je ne suis pas pour moi, qui le sera ? Si je ne suis que pour moi, que suis-je ? Et si pas aujourd’hui, quand ? »
אם אין אני לי, מי לי; וכשאני לעצמי, מה אני; ואם לא עכשיו, אימתי
(Im eyn ani li, az mi li ? Vékché ani léatzmi, ma ani ? Vé im lo akhchav, az matay ?)
Connaissez vous Hillel le vieux? C’était un sage bûcheron natif de Babylone. Il est l’auteur de l’aphorisme ci-dessus. Qu’est-ce qu’il nous dit là qui pourrait s’appliquer à notre situation actuelle?
Je pourrais vous le dire mais vous avez sûrement une explication. Pendant que vous réfléchissez, voici un peu d’étymologie hébraïque, vous allez voir, c’est drôle :
1: la santé en hébreu a la même racine que le verbe créer.
2 : La maladie en hébreu a la même racine que le mot cercle, circularité.
Moralité : ne tournez pas en rond, créez, apprenez, inventez !
Merci à Mme Horvilleur qui m’a inspiré ce petit texte.
Au premier regard, une toile de style classique faisant référence à une scène de la Bible. Une femme à demi dénudée se trouve au premier plan, portant une haute coiffe et des bijoux, tandis qu'un roi se tenant à l'arrière-plan sur un trône l'observe. Sur la droite se trouve un garde.
Voici SALOMÉ. Voici la féminité.
Elle est belle, et esquisse un pas de danse. Sa robe tout en finesse nous dévoile les courbes de son corps.
Maintenant, approchez-vous pour observer cette robe.
Voici SALOMÉ. Voici la féminité.
Elle est belle, et esquisse un pas de danse. Sa robe tout en finesse nous dévoile les courbes de son corps.
Maintenant, approchez-vous pour observer cette robe.
Elle est dentelle ! Un trait fin dessiné par-dessus la technique de peinture classique. Un style nouveau, une modernité incroyable pour ce chef-d'oeuvre classique. Les détails de sa robe sont époustouflant et je ne me lasse pas de les regarder. On pourrait croire à un tatouage. A chaque rencontre avec Salomé, je découvre un nouveau détail, qui précise un peu plus sa féminité.
Une émotion incomparable me fait penser à la Shéhérazade des Mille et une nuits de Rimski-Korsakov. Une douceur, une légèreté et une féminité, interprétées par le violon solo de l'orchestre, qui est accompagné par une harpe pour son entrée.
Une autre danse... une autre femme.
Une émotion incomparable me fait penser à la Shéhérazade des Mille et une nuits de Rimski-Korsakov. Une douceur, une légèreté et une féminité, interprétées par le violon solo de l'orchestre, qui est accompagné par une harpe pour son entrée.
Une autre danse... une autre femme.