Réécriture : réécrivez le texte suivant au plus-que-parfait et à la deuxième personne du pluriel (le pronom désigne cependant une seule personne, une femme)
Quand je tâte ma poche revolver, je ne sens plus la lettre. Je la cherche partout sur moi, je fouille ma mallette, en vain. Je suppose que je l’ai perdue un peu plus haut sur le chemin et je reviens sur mes pas jusqu’au carrefour de la Mée. Je m’agenouille auprès du calvaire. La nuit tombe. Les deux mains enfouies dans les hautes herbes, je crois tout à coup sentir sous mes doigts les courbes d’une tête humaine.
Quand je tâte ma poche revolver, je ne sens plus la lettre. Je la cherche partout sur moi, je fouille ma mallette, en vain. Je suppose que je l’ai perdue un peu plus haut sur le chemin et je reviens sur mes pas jusqu’au carrefour de la Mée. Je m’agenouille auprès du calvaire. La nuit tombe. Les deux mains enfouies dans les hautes herbes, je crois tout à coup sentir sous mes doigts les courbes d’une tête humaine.