Récrivez le texte suivant aux temps du récit, en prenant Gontier comme narrateur.
La porte cède brutalement. Gontier dévale les escaliers quatre à quatre sans se retourner. Quand il aperçoit le palier du rez-de-chaussée en contrebas, il se croit sorti d’affaire. Il saute les dernières marches et se rétablit maladroitement sur le dallage. Il s’appuie contre un mur pour reprendre son souffle : il tient à peine debout et son cœur bat à tout rompre.
Un bruit sourd lui fait lever les yeux. Tournant la tête vers le sas vitré de l’entrée, il voit la petite vieille au parapluie bulgare qui s’avance vers lui, sans hâte. «Fatigué, mon grand ? Ne t’inquiète pas : ça va passer. »
Il y a un déclic sinistre : l’aiguille empoisonnée vient de jaillir de l’extrémité du parapluie.
La porte cède brutalement. Gontier dévale les escaliers quatre à quatre sans se retourner. Quand il aperçoit le palier du rez-de-chaussée en contrebas, il se croit sorti d’affaire. Il saute les dernières marches et se rétablit maladroitement sur le dallage. Il s’appuie contre un mur pour reprendre son souffle : il tient à peine debout et son cœur bat à tout rompre.
Un bruit sourd lui fait lever les yeux. Tournant la tête vers le sas vitré de l’entrée, il voit la petite vieille au parapluie bulgare qui s’avance vers lui, sans hâte. «Fatigué, mon grand ? Ne t’inquiète pas : ça va passer. »
Il y a un déclic sinistre : l’aiguille empoisonnée vient de jaillir de l’extrémité du parapluie.