En bleu, les mots subordonnants qui rattachent la proposition subordonnée (qui rapporte les paroles du personnage) à la proposition principale.
En rouge, vert ou violet, les verbes dans les propositions subordonnées : ils ont changé de temps, ils sont maintenant à l'imparfait, au conditionnel présent (le futur du passé) ou au plus-que-parfait (le passé du passé) puisqu'ils font maintenant partie d'un texte au passé.
Vous noterez aussi qu'il n'y a plus de points d'interrogation ou d'exclamation : ce n'est plus le personnage qui parle, c'est le narrateur, et celui-ci ne fait que raconter qu'on s'est exclamé ou qu'on a posé une question.
Vous noterez enfin qu'hier devient la veille et demain le lendemain.
a. Le ministre soupira qu'il n'avait jamais rien entendu d'aussi stupide.
b. Pleine d'amertume, elle lui demanda quand ils pourraient enfin se revoir.
c. Il expliqua à son médecin qu'il devait le voir la veille, mais qu'il avait eu un empêchement.
d. Elle leur ordonna de poser les cartons dans un coin et de la suivre jusqu'à la remorque. (ici, on a employé la préposition de à la place d'un mot subordonnant.)
e. Louis, scandalisé, s'exclama que ce n'était quand même pas sa faute s'il pleuvait.
f. Sa sœur lui annonça que le voisin avait de la visite.
g. Le capitaine dit que leurs vivres ne dureraient pas jusqu'au lendemain.
h. Juliette expliqua que la veille il y avait eu de l'orage, et qu'elle avait donc préféré rester chez elle.
i. Il se pencha pour demander à sa voisine comment elle avait trouvé la pièce.
En rouge, vert ou violet, les verbes dans les propositions subordonnées : ils ont changé de temps, ils sont maintenant à l'imparfait, au conditionnel présent (le futur du passé) ou au plus-que-parfait (le passé du passé) puisqu'ils font maintenant partie d'un texte au passé.
Vous noterez aussi qu'il n'y a plus de points d'interrogation ou d'exclamation : ce n'est plus le personnage qui parle, c'est le narrateur, et celui-ci ne fait que raconter qu'on s'est exclamé ou qu'on a posé une question.
Vous noterez enfin qu'hier devient la veille et demain le lendemain.
a. Le ministre soupira qu'il n'avait jamais rien entendu d'aussi stupide.
b. Pleine d'amertume, elle lui demanda quand ils pourraient enfin se revoir.
c. Il expliqua à son médecin qu'il devait le voir la veille, mais qu'il avait eu un empêchement.
d. Elle leur ordonna de poser les cartons dans un coin et de la suivre jusqu'à la remorque. (ici, on a employé la préposition de à la place d'un mot subordonnant.)
e. Louis, scandalisé, s'exclama que ce n'était quand même pas sa faute s'il pleuvait.
f. Sa sœur lui annonça que le voisin avait de la visite.
g. Le capitaine dit que leurs vivres ne dureraient pas jusqu'au lendemain.
h. Juliette expliqua que la veille il y avait eu de l'orage, et qu'elle avait donc préféré rester chez elle.
i. Il se pencha pour demander à sa voisine comment elle avait trouvé la pièce.