Alors que j’ étais chez moi en automne, la neige tomba plus tôt que prévue . Il faisait très froid et ma petite cabane où je vivais avait heureusement une cheminée . Je fis alors un feu, mais n’ayant plus de bois, je brûlais des livres que j’ avais déjà lus . Mais malheureusement le feu ne prit pas très longtemps , il fallait absolument que j’aille chercher du bois dans la forêt . A peine parti , le froid me gagnait , et je ne sentais plus mes pieds . La neige ne cessait de tomber puis soudain plus rien.
Je vis un chêne presque mort , seul et très vieux , qui perdait ses branches . Il allait certainement mourir mais je voyais tout de même qu’ il lui restait quelques petites feuilles . Sa cime était tombée devant lui, sûrement à cause d’ une tempête .Cet arbre avait souffert du temps et continuait a souffrir . Ses branches étaient abimées comme mon âme . Il avait perdu de sa majesté mais il semblait encore tenir à la vie . Il était toujours debout malgré tout ce qu’ il avait vécu .Il était comme moi , seul et triste : j’ avais perdu un être cher . Mais il fallait que je m’ accroche à la vie comme ces petites feuilles sur ce chêne.
Soudain l’ horloge sonna sept heure ! Je me réveillais en sursautant. Je réalisais que j’ étais en fait dans un rêve et que le paysage que je venais d’ y voir était un tableau peint,accroché dans ma chambre. Ceci n’était donc qu’un rêve , et tournant la tête , je vis ma femme qui dormait paisiblement à côté de moi .
Thomas Vautrin, 4°4.
Je vis un chêne presque mort , seul et très vieux , qui perdait ses branches . Il allait certainement mourir mais je voyais tout de même qu’ il lui restait quelques petites feuilles . Sa cime était tombée devant lui, sûrement à cause d’ une tempête .Cet arbre avait souffert du temps et continuait a souffrir . Ses branches étaient abimées comme mon âme . Il avait perdu de sa majesté mais il semblait encore tenir à la vie . Il était toujours debout malgré tout ce qu’ il avait vécu .Il était comme moi , seul et triste : j’ avais perdu un être cher . Mais il fallait que je m’ accroche à la vie comme ces petites feuilles sur ce chêne.
Soudain l’ horloge sonna sept heure ! Je me réveillais en sursautant. Je réalisais que j’ étais en fait dans un rêve et que le paysage que je venais d’ y voir était un tableau peint,accroché dans ma chambre. Ceci n’était donc qu’un rêve , et tournant la tête , je vis ma femme qui dormait paisiblement à côté de moi .
Thomas Vautrin, 4°4.