L'élément complété par la proposition subordonnée apparait en rouge dans les énoncés.
1. Je n’ai pu deviner s’il était disposé ou non à nous venir en aide.
la proposition subordonnée complète un verbe et sert à formuler une question au discours indirect : c'est une proposition subordonnée interrogative indirecte, introduite par la conjonction de subordination si ; elle est complément d'objet direct du verbe deviner.
2. Nous sommes heureux que tu aies enfin trouvé chaussure à ton pied !
La proposition subordonnée complète un adjectif qualificatif : c'est une proposition subordonnée conjonctive complétive, introduite par la conjonction de subordination que ; elle est complément de l'adjectif heureux.
3. Ce pays dont tu m’as parlé, est-il loin d’ici ?
La proposition subordonnée complète un nom : c'est une proposition subordonnée relative, introduite par le pronom relatif dont; sa fonction est complément de l'antécédent pays.
4. Garde tes disques : j’ai détesté celui que tu m’as prêté avant-hier.
La proposition subordonnée complète un pronom : c'est une proposition subordonnée relative, introduite par le pronom relatif que ; sa fonction est complément de l'antécédent celui.
5. Comme tout le monde s’ennuyait ferme dans le chalet, nous sommes partis en excursion dans la montagne.
La proposition subordonnée ne semble rattachée à aucun élément de la principale en particulier, et se déplace aisément en début ou en fin de phrase : c'est une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, introduite par la conjonction de subordination comme ; elle est complément circonstanciel de cause.
6. Je suis comme ça, je supporte difficilement que l’on joue du tuba au-dessus de ma tête à trois heures du matin.
La proposition subordonnée complète un verbe : c'est une proposition subordonnée conjonctive complétive, introduite par la conjonction de subordination que ; elle est complément d'objet direct du verbe supporter.
7. Saluons la mémoire de cet homme immense, dont le souvenir demeure, malgré les ans, toujours vivace dans nos cœurs.
La proposition subordonnée complète un nom : c'est une proposition subordonnée relative, introduite par le pronom relatif dont; sa fonction est complément de l'antécédent homme.
8. Bien entendu, je ne vous demanderai pas combien vous souhaitez investir dans notre petite affaire.
La proposition subordonnée complète un verbe et sert à formuler une question au discours indirect : c'est une proposition subordonnée interrogative indirecte, introduite par le mot interrogatif combien ; elle est complément d'objet direct du verbe demander.
9. Nous devons nous lever tôt pour monter à l’usine, alors que toi, tu dors tranquille.
La proposition subordonnée ne semble rattachée à aucun élément de la principale en particulier, et se déplace aisément en début ou en fin de phrase : c'est une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, introduite par la locution conjonctive alors que ; elle est complément circonstanciel d'opposition.
10. Je préfère que nous évitions de parler de cette histoire devant ta sœur.
La proposition subordonnée complète un verbe : c'est une proposition subordonnée conjonctive complétive, introduite par la conjonction de subordination que ; elle est complément d'objet direct du verbe supporter.
1. Je n’ai pu deviner s’il était disposé ou non à nous venir en aide.
la proposition subordonnée complète un verbe et sert à formuler une question au discours indirect : c'est une proposition subordonnée interrogative indirecte, introduite par la conjonction de subordination si ; elle est complément d'objet direct du verbe deviner.
2. Nous sommes heureux que tu aies enfin trouvé chaussure à ton pied !
La proposition subordonnée complète un adjectif qualificatif : c'est une proposition subordonnée conjonctive complétive, introduite par la conjonction de subordination que ; elle est complément de l'adjectif heureux.
3. Ce pays dont tu m’as parlé, est-il loin d’ici ?
La proposition subordonnée complète un nom : c'est une proposition subordonnée relative, introduite par le pronom relatif dont; sa fonction est complément de l'antécédent pays.
4. Garde tes disques : j’ai détesté celui que tu m’as prêté avant-hier.
La proposition subordonnée complète un pronom : c'est une proposition subordonnée relative, introduite par le pronom relatif que ; sa fonction est complément de l'antécédent celui.
5. Comme tout le monde s’ennuyait ferme dans le chalet, nous sommes partis en excursion dans la montagne.
La proposition subordonnée ne semble rattachée à aucun élément de la principale en particulier, et se déplace aisément en début ou en fin de phrase : c'est une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, introduite par la conjonction de subordination comme ; elle est complément circonstanciel de cause.
6. Je suis comme ça, je supporte difficilement que l’on joue du tuba au-dessus de ma tête à trois heures du matin.
La proposition subordonnée complète un verbe : c'est une proposition subordonnée conjonctive complétive, introduite par la conjonction de subordination que ; elle est complément d'objet direct du verbe supporter.
7. Saluons la mémoire de cet homme immense, dont le souvenir demeure, malgré les ans, toujours vivace dans nos cœurs.
La proposition subordonnée complète un nom : c'est une proposition subordonnée relative, introduite par le pronom relatif dont; sa fonction est complément de l'antécédent homme.
8. Bien entendu, je ne vous demanderai pas combien vous souhaitez investir dans notre petite affaire.
La proposition subordonnée complète un verbe et sert à formuler une question au discours indirect : c'est une proposition subordonnée interrogative indirecte, introduite par le mot interrogatif combien ; elle est complément d'objet direct du verbe demander.
9. Nous devons nous lever tôt pour monter à l’usine, alors que toi, tu dors tranquille.
La proposition subordonnée ne semble rattachée à aucun élément de la principale en particulier, et se déplace aisément en début ou en fin de phrase : c'est une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, introduite par la locution conjonctive alors que ; elle est complément circonstanciel d'opposition.
10. Je préfère que nous évitions de parler de cette histoire devant ta sœur.
La proposition subordonnée complète un verbe : c'est une proposition subordonnée conjonctive complétive, introduite par la conjonction de subordination que ; elle est complément d'objet direct du verbe supporter.