Ce jour là j'avais décidé d'aller me promener dans la bois voisin pour oublier mes tourments.Car ce terrible mois de janvier avait emporté mes pauvres enfants. Le sort avait l'air de s'acharner sur moi et mon pauvre mari, puisque suite au décès de nos enfants, ce fut une partie de nos boeux qui mourut d'une maladie inconnue. Je devais alors m’efforcer au travail pour nourrir nos ventres affamés. Je marchais d'un pas rapide vers ce bois qui me rappelait les beaux jours quand j’emmenais mes enfants adorés jouer dans ce petit paradis.
Je marchai jusqu'à être arrêtée par la splendeur du paysage. Devant moi s'élevaient d'immenses rochers qui me faisaient penser à la puissance de Dieu; j'étais émerveillée par ce spectacle. Mais pour atteindre cette mystérieuse grandeur, un chemin courait, entouré par des rochers couverts de végétation. Un arbre mort semblait faire obstacle. En contemplant ce vaste paysage mon âme s'apaisa. Car cette roche si grande ne pouvait qu'être l’œuvre de Dieu. Je sentis l'espoir renaître en moi à l'idée qu'un jour, nous pauvres humains gagnerions peut-être le paradis. Mais avant tout cela, nous devions surmonter les épreuves de la vie, franchir cet arbre pour grimper jusqu'au sommet de la montagne. Et finalement le décès tragique de mes bambins était peut-être une chance de ne pas subir la vie.
Je revins sur mes pas le cœur serein.
Aliénor Deforge (4°4).
Je marchai jusqu'à être arrêtée par la splendeur du paysage. Devant moi s'élevaient d'immenses rochers qui me faisaient penser à la puissance de Dieu; j'étais émerveillée par ce spectacle. Mais pour atteindre cette mystérieuse grandeur, un chemin courait, entouré par des rochers couverts de végétation. Un arbre mort semblait faire obstacle. En contemplant ce vaste paysage mon âme s'apaisa. Car cette roche si grande ne pouvait qu'être l’œuvre de Dieu. Je sentis l'espoir renaître en moi à l'idée qu'un jour, nous pauvres humains gagnerions peut-être le paradis. Mais avant tout cela, nous devions surmonter les épreuves de la vie, franchir cet arbre pour grimper jusqu'au sommet de la montagne. Et finalement le décès tragique de mes bambins était peut-être une chance de ne pas subir la vie.
Je revins sur mes pas le cœur serein.
Aliénor Deforge (4°4).