En plus du discours direct et du discours indirect, il existe deux autres façons de rapporter les paroles d'un personnage : le discours indirect libre et le discours narrativisé.
1. Le discours indirect libre.
Il n'est signalé par aucun verbe de parole, aucun signe de ponctuation. Les temps et les pronoms sont ceux employés dans le récit où il est inclus. Alors comment le repérer ? A ce qui reste des intonations du personnage, du registre de langue qu'il emploie.
Exemple : l'énoncé suivant, au discours direct...
"Et qu'est-ce que j'en ai à faire, moi, de son rapport !" s'emporta Maxime.
... donnera au discours indirect :
Maxime, furieux, nous fit comprendre qu'il se moquait bien du rapport en question.
... et au discours indirect libre :
Maxime était furieux. Et qu'est-ce qu'il en avait à faire, lui, de son rapport !
Le discours indirect libre cumule donc a priori les avantages des deux autres types de discours : il est vivant et il n'interrompt pas le récit où il s'insère ; mais il est souvent plus difficile à repérer, si bien qu'on confond souvent la voix du personnage avec celle du narrateur. Ce peut être le but recherché, cela dit.
2. Le discours narrativisé.
C'est encore plus simple. Il consiste en un résumé des propos des personnages. Ainsi un dialogue de deux pages pourrait tenir dans cette formule : Ils se disputèrent interminablement à propos de la tasse cassée.
1. Le discours indirect libre.
Il n'est signalé par aucun verbe de parole, aucun signe de ponctuation. Les temps et les pronoms sont ceux employés dans le récit où il est inclus. Alors comment le repérer ? A ce qui reste des intonations du personnage, du registre de langue qu'il emploie.
Exemple : l'énoncé suivant, au discours direct...
"Et qu'est-ce que j'en ai à faire, moi, de son rapport !" s'emporta Maxime.
... donnera au discours indirect :
Maxime, furieux, nous fit comprendre qu'il se moquait bien du rapport en question.
... et au discours indirect libre :
Maxime était furieux. Et qu'est-ce qu'il en avait à faire, lui, de son rapport !
Le discours indirect libre cumule donc a priori les avantages des deux autres types de discours : il est vivant et il n'interrompt pas le récit où il s'insère ; mais il est souvent plus difficile à repérer, si bien qu'on confond souvent la voix du personnage avec celle du narrateur. Ce peut être le but recherché, cela dit.
2. Le discours narrativisé.
C'est encore plus simple. Il consiste en un résumé des propos des personnages. Ainsi un dialogue de deux pages pourrait tenir dans cette formule : Ils se disputèrent interminablement à propos de la tasse cassée.