C'est beaucoup plus simple que ça en a l'air (mais si).
Pour reconnaître une proposition subordonnée d'une autre, il suffit de chercher l'élément de la proposition principale qu'elle complète.
Par exemple (les propositions sont en bleu, les éléments qu'elles complètent en rouge, et le mot subordonnant est souligné):
1. C'est un air qui me dit quelque chose.
2. Tu savais que je serais avec toi.
3. Il me demanda comment j'étais entré.
4. Alors que nous n'espérions plus, le téléphone vibra dans ma poche.
Cas 1 : la proposition subordonnée complète un nom ou un pronom : c'est une proposition subordonnée relative, introduite par un pronom relatif (qui, que, dont, où, et les composés de quoi et quel) ; sa fonction est complément de l'antécédent (c'est l'élément qui la précède et qu'elle complète).
Cas 2 : la proposition subordonnée complète un verbe (ou plus rarement un adjectif qualificatif) : c'est une proposition subordonnée conjonctive complétive, introduite par la conjonction de subordination que (ou qu') ; elle est complément d'objet direct (ou indirect) du verbe (ou complément de l'adjectif).
Cas 3 : Même chose, mais la proposition subordonnée sert à formuler une question au discours indirect : c'est une proposition subordonnée interrogative indirecte, introduite par une conjonction de subordination (si ou quand) ou par un mot interrogatif (pourquoi, comment...) ; sa fonction sera la même que ci-dessus.
Cas 4 : la proposition subordonnée ne semble rattachée à aucun élément de la principale en particulier, et se déplace aisément en début ou en fin de phrase : c'est une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, introduite par une conjonction de subordination (comme, si, quand) ou une locution conjonctive (préposition + que : tandis que, pour que, parce que...) ; elle est complément circonstanciel (de temps, de cause, d'opposition, de but...)
Pour reconnaître une proposition subordonnée d'une autre, il suffit de chercher l'élément de la proposition principale qu'elle complète.
Par exemple (les propositions sont en bleu, les éléments qu'elles complètent en rouge, et le mot subordonnant est souligné):
1. C'est un air qui me dit quelque chose.
2. Tu savais que je serais avec toi.
3. Il me demanda comment j'étais entré.
4. Alors que nous n'espérions plus, le téléphone vibra dans ma poche.
Cas 1 : la proposition subordonnée complète un nom ou un pronom : c'est une proposition subordonnée relative, introduite par un pronom relatif (qui, que, dont, où, et les composés de quoi et quel) ; sa fonction est complément de l'antécédent (c'est l'élément qui la précède et qu'elle complète).
Cas 2 : la proposition subordonnée complète un verbe (ou plus rarement un adjectif qualificatif) : c'est une proposition subordonnée conjonctive complétive, introduite par la conjonction de subordination que (ou qu') ; elle est complément d'objet direct (ou indirect) du verbe (ou complément de l'adjectif).
Cas 3 : Même chose, mais la proposition subordonnée sert à formuler une question au discours indirect : c'est une proposition subordonnée interrogative indirecte, introduite par une conjonction de subordination (si ou quand) ou par un mot interrogatif (pourquoi, comment...) ; sa fonction sera la même que ci-dessus.
Cas 4 : la proposition subordonnée ne semble rattachée à aucun élément de la principale en particulier, et se déplace aisément en début ou en fin de phrase : c'est une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, introduite par une conjonction de subordination (comme, si, quand) ou une locution conjonctive (préposition + que : tandis que, pour que, parce que...) ; elle est complément circonstanciel (de temps, de cause, d'opposition, de but...)