Le vieux soldat était sec et maigre. Son front, volontairement cachait / cacher / caché sous les cheveux / cheuveux de sa perruque lisse, lui donnait / donnaient / donné / donner quelquechose / quelque chose de mystérieux / mistérieux. Ses yeux paraissaient couvèrent / couverts d’une taie transparente : vous ussiez / eussiez / eûssiez dit de la nacre salle / sale dont les reflets bleuâtres chatoillaient / chatoillés / chatoiller / chatoyaient à la lueur / lueure des bougies. Le visage pâle, livide et en lame de couteau, s’il est permis d'empruntait / d'empruntée / d’emprunter cette expression / expresion vulgère / vulgaire, semblait mort. Le cou était serrait / serré / serrer par une mauvaise cravatte / cravate de soie / soi / soit noir / noire. L’ombre cachait / cachée / cacher si bien le corps / corp à partir de la ligne brune que décrivait / décriver / décrivée se /ce haillon, qu’un homme d’imagination aurait pu prendre cette vielle / vieille / veille tête pour quelle que / quelque silhouette dut / dû / due au hasard / hasart / hazard, ou pour un portrait de Rembrandt, sans cadre. Les bords du chapeau qui couvrait / couvraient / couvrés / couvrer le front du vieillard projetait / projetaient / projetés / projeter un sillon / siyon / sillion noir sur le haut du visage. Cet effet bizarre, quoique naturel, faisait ressortir /ressortir, par la brusquerie du contraste, les rides blanches, les sinuosités froides, le sentiment décolorait / décoloré / décolorer de cette physionomie / phisionomie cadavéreuse.
Honoré de Balzac, Le Colonel Chabert, 1832.
Honoré de Balzac, Le Colonel Chabert, 1832.